lundi 26 septembre 2011

Lettre Première

Lettre à une femme croisée en soirée

Le Week-End s'éteint.
Il fut le meilleur depuis un temps certain...
De la danse, du soleil, quelques minutes de ménage, le strict minimum, s'entend, une petite dose d'art et une touche d'amitié.
Et bien sûr, quelques pas partagés, parfois maladroits mais toujours attentionnés, entremêlés de quelques mots susurrés, arrachant le sourire qui ravit, le tout empli de doute, sur l'attirance de l'autre, sur cet homme encombrant, ou celui qui pourrait n'être pas là. Et le doute de ne pas avoir l'occasion, la force, l'optimisme, de faire fi de ces incertitudes, et de se dire qu'on ne risque qu'un peu de rougeur et d'ego mortifié à les surmonter.
Mais une amie de (double?) mèche, et les obstacles s'envolent, le sourire prend le dessus et devient rire, il semble que tout est partagé, et le mojo écrasé ces semaines passées est enfin retrouvé...
Et là, fort de ces souvenirs, laissant aller ma curiosité, je me retrouve devant le journal d'une adolescente, qui ne semble pas savoir seulement manier la musique et le corps... mais a bien plus d'un tour dans son sac...

J'arrête alors là ma curiosité, tout cela est déjà bien assez joli comme cela. Le reste mérite d'être mystérieux, et d'être découvert par de nouveaux mots susurrés.
J'espère qu'ils auront l'occasion de l'être, un soir de ce week-end...

Je t'embrasse
J

samedi 26 février 2011

Fireworks




Question éternelle, que de savoir ses sentiments d'amour, et de savoir ce que l'on aime partager ensemble.
La compatibilité des goûts et des caractères d'une part, la sincérité des sentiments de l'autre...
Deux choses qui ne s'impliquent pas toujours, et qui sont pourtant toutes deux indispensables... à mon goût tout du moins.
Trop souvent, on s'aveugle et on se pèse de concessions, par la force et la folie des sentiments.
Parfois, inversement, l'affection naît de l'incroyable compatibilité.

Nous étions l'un pour l'autre exactement ce que l'on cherchait chez un autre. Compatibilité culturelle, curiosité sexuelle, un savant mélange de sagesse et de folie. Mais il a manqué l'étincelle, ce pincement du coeur, qui nous donne des ailes. Alors le romantisme de ce premier dimanche ensoleillé, s'est envolé. En emportant l'euphorie avec lui.


Certains disent, l'amour ne suffit pas.
Je rajoute que le reste, ne suffit pas non plus.



Again.